Amand Juiliot voit le jour à Paris, en 1843. C’est le fils d’Amand Juiliot et de son épouse Louise Adèlaïde Ingè. Il devient soudeur.
Célibataire, il décède le 22 mars 1891, chez lui, 8 rue des trois Bornes, à Paris (11ème), et est inhumé le 23.
Sources : Archives départementales de la Seine (Registre des entrées du cimetière, Décès du 20ème). Date de création : 2025-02-12.
La chapelle s’ouvre par une porte en tôle de fer. Celle ci est évidée en haut, pour inclure une fonte moulée avec des symboles catholiques : mitre d’évêque, croix de Lorraine, encensoirs, tête d’ange ailé … entourent un triangle symbolisant la Sainte Trinité.
Sur une tôle de fer ont été soudés des étoiles et, en bas, quatre médaillons en bas-relief, en fer moulé, avec les quatre évangélistes, avec, au centre, deux angelots dont l’un tient un Crucifix et l’autre un livre ouvert. Ce modèle figure dans le catalogue des fonderies de Tusey de 1896, pl. 466 n°1.
Cette porte rappelle celle de la chapelle Le Camus.
Inscriptions : Amand JUILIOT
Louise Adélaïde, INGE, épouse de Victor Amand JUILIOT, née le, 26 novembre 1804, décédée le 22, février 1861.
Victorine Angélique, JUILIOT-INGE, femme HENNIQUE, née le 9 février 1825, décédée, le 28 7bre 1846.
Adèle JUILIOT, 1846-1927.
Henry Eugène, MABIRE, 1876-1929.
Edmond Noël, MABIRE, 1884-1938.
Gustave, MABIRE, 1941.
Mme LACOSTE, née Fernande JUILIOT, le 6 janvier 1872, décédée le 23 novembre 1925.
Joseph LACOSTE, né le 2 mars 1869, décédé, le 31 juillet 1926.
Victoire JUILIOT, femme LUCET, née le 23 janvier 1783, décédée le 10 mai 1855.
Claude Louis JUILIOT, né le 5 mai 1844, décédé le 16 juillet […].
