La Ville de Paris élève ce monument aux Gardes Nationaux tués pendant l’insurrection des journées des 5 et 6 juin 1832. Dans ce tombeau on a aussi inhumé les victimes des 13 et 14 juin 1834. Il y aurait aussi celles des victimes de l’explosion de la machine infernale (28 juillet 1835).

Selon d’autres sources il ne s’agirait que d’un cénotaphe. Jules Moiroux affirme qu’on a dédié ce monument aux victimes de juin 1848, ce que démentent les inscriptions.

Sources : -. Date de création : 2008-03-10.

La concession à perpétuité est entretenue gratuitement par la ville de Paris. Les noms de toutes les victimes sont gravés sur le monument, sous trois couronnes mortuaires entourant chacune une étoile.

En haut de la stèle se trouve un bas-relief en marbre, figurant un coq sur une guirlande de fleurs, encadrée par deux flambeaux renversés, de facture inconnue.

Inscriptions : Liberté, ordre public, aux victimes de juin, La Ville de Paris reconnaissante.

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