COUBARD D’AULNAY Germain Etienne (1804-1863)
France

Adversaire du romantisme

Germain Etienne Coubard d’Aulnay voit le jour en 1804. Pour lui, littérature romantique ou littérature fantastique deviennent sur la presse, la même chose.

Coubard d’Aulnay, dans ses vers «Ce que j’aimais et ce que j’aime», nous présente la conversion d’un «imbécile écolier» à la religion romantique, à présent dit-il, «J’aime les spectres blancs, j’aime les noirs esprits, J’aime le cri charmant de l’oiseau des ténèbres; Des sorcières en deuil j’aime les beaux yeux gris Et le Vampire assis sur les tombes funèbres.»

Coubard d’Aulnay s’éteint le 4 octobre 1863, à Paris. Il repose avec Joseph Marie Vien (1761-1848), peintre, et la femme de ce dernier, Céleste Bache (1774-1843), femme de lettres, sans que le lien avec ce couple nous soit connu.

Œuvres :

  • Vocabulaire des mots des fables à expliquer aux enfants ;
  • Nouveau choix de fables en vers et en prose (1858).

Sources : Coubard d’Aulnay. (Germain Etienne) Ce que j’aimais, ce que j’aime, Athénée des Arts de Paris, 1833. Date de création : 2009-03-11.

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Monument

Inscriptions :

Joseph Marie COMTE […], peintre d’histoire, chevalier de l’ordre royal, de la légion d’honneur, 1761 – 1848.
Théodosie JOILAY, femme COUBARD D’AULNAY, […] 1862.
Germain Etienne COUBARD, homme de lettres, membre de plusieurs sociétés, décédé à Paris le 4 octobre […]. Requiescant in pace.
(Latin : Qu’ils reposent en paix).

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Date de la dernière mise à jour : 19 octobre 2024